C’est incontestablement la première question qu’on se pose : ça va me coûter combien?
Et bien, dans cet article, je vais tenter de faire la lumière sur les coûts réels reliés à un employé à temps partiel versus utiliser les services d’une adjointe virtuelle.
VOUS EMBAUCHEZ UN(E) EMPLOYÉ(E) À TEMPS PARTIEL
Justine occupe le poste d’Adjointe administrative, 21 heures par semaine à un taux horaire de 20 $ l’heure.
Malgré toute sa bonne volonté, Justine arrive parfois en retard le matin, prend un 10 à 15 minutes de plus pour son heure de lunch, jase avec ses pairs et navigue sur son téléphone.
Nous pouvons facilement estimer une perte de temps d’environ trois (3) heures par semaine, ce qui réduit son temps de travail à 18 heures, mais vous la rémunérez pour 21 heures.
Ensuite, il y a les vacances (souvent deux (2) à trois (3) semaines par année) et quelques journées d’absence pour maladie ou autres raisons valables (environ trois (3) à cinq (5) jours par année).
À ce qui précède, s’ajoute également les jours fériés. Malgré le fait que votre employé(e) est à temps partiel, vous devez lui accorder les jours fériés au même titre qu’un(e) employé(e) à temps plein.
À titre d’exemple : Justine travaille du mardi au jeudi et le jour férié est un lundi.
Selon la CNESST l’employeur à deux (2) choix :
– Soit lui verser une indemnité en plus de son salaire pour la journée;
– Soit lui donner une journée de congé.
Et pour terminer, s’ajoute toutes les charges sociales que vous devez verser au gouvernement, les augmentations de salaire ou bonis au fil des ans.
Ouf, ça commence à coûter cher!
VOUS UTILISEZ LES SERVICES D’UN(E) ADJOINT(E) VIRTUEL(LE)
Vous décidez d’utiliser les services de Marie avec une banque d’heures de 20 heures par semaine à 40 $ de l’heure.
Marie effectue les tâches demandées et vous charge que pour le temps qu’elle a mise à les effectuer.
Marie travaille de la maison et elle n’est pas dérangée par ses pairs ni interrompue pour gérer les diverses demandes imprévues en milieu de travail.
Si Marie prend des vacances, en congé férié ou maladie, elle ne vous coûte pas un sou.
À moins d’une augmentation de ses tarifs, vous n’avez pas à lui verser de boni, d’augmentation ou de compensation financière si vous mettez fin à votre collaboration.
Si, pour une raison quelconque les besoins diminuent, vous n’êtes pas tenu d’utiliser ses services, car en général, la banque de temps est valide pour une période de plusieurs mois.
Et pour conclure, les services de votre adjointe virtuelle représentent une dépense déductible à 100 % en plus de récupérer les taxes.
Nul besoin de faire des calculs savants, c’est nettement plus avantageux pour une entreprise de faire appel aux services d’un(e) adjoint(e) virtuel(le) que d’embaucher un(e) employé(e) à temps partiel!Vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec moi Mélissa Plante Formatrice et adjointe virtuelle